Suicide assisté : Comme dans “Richard III” de Shakespeare, on tente de soulager l’excès de culpabilité.

euthanasie

Le Figaro. 2023

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Auteurs :

Dr. Roland Chvetzoff, PhD (1)Pr. Carole Bouleuc, MD (2)Pr. Gisèle Chvetzoff, MD, PhD (3)
(1) Cabinet LATITUDE SANTE, 69007 Lyon.
(2) Institut Curie, Département Interdisciplinaire de Soins de Support du Patient en Oncologie (DISSPO), Paris.
(3) Centre Léon Bérard, Département Interdisciplinaire de Soins de Support du Patient en Oncologie (DISSPO), 69373 Lyon. Université Claude Bernard Lyon 1.

Résumé :

Tribune collective sur le projet de légalisation de l’aide active à mourir :
"Le combat pour la légalisation de l’aide active à mourir fait appel aux valeurs de dignité, d’autonomie, de liberté, et plus récemment d’humanité. Ces valeurs hautement désirables ne doivent cependant pas faire écran aux forces plus sombres qui nous traversent : toute-puissance, dépit, excès ou absence de culpabilité. Les motivations du geste létal sont peut-être plus complexes qu’il n’y parait…".
Signataires :
Roland Chvetzoff, Docteur en philosophe et psychanalyste. Lyon.
Carole Bouleuc, Professeure en médecine palliative. Institut Curie Paris.
Gisèle Chvetzoff, Professeure en médecine palliative. Centre Léon Bérard Lyon.

Mots clés :

Euthanasie ; Aide active à mourir ; Suicide assité ; Relation de soin ; Éthique.

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